Nos équipes

Originaire du secteur Sillery de la ville de Québec, j’ai été enseignant d’histoire au Centre d’études collégiales de Montmagny de 1994 à 2022, ceci après avoir fait mes premières armes en enseignement collégial au Cégep de Matane. Je suis retraité de l’enseignement collégial depuis avril 2022. En 1984, j’étais un des membres fondateurs de la Société́ d’histoire de Sillery. J’y ai été trésorier, puis président et administrateur avant de quitter pour m’impliquer dans d’autres organismes. Je suis revenu à la Société d’histoire de Sillery en 2012 et j’y occupe la présidence depuis 2013. 

Après m’être impliqué dans le comité du patrimoine de la Fédération, j’ai été appelé à devenir administrateur, fonction que j’ai occupée pendant deux ans. À la fin de ce mandat, j’ai été renouvelé (2021) puis nommé comme président par le conseil d’administration de la Fédération. J’occupe ce poste depuis, et ce en plus d’essayer de donner un coup de main au comité du patrimoine.

Depuis plus de dix ans, je m’investis activement dans la valorisation de l’histoire et du patrimoine du Québec. En tant que président de la Fédération Histoire Québec depuis 2021, j’ai œuvré à renforcer notre réseau de plus de 360 sociétés d’histoire, musées, centres d’archives et associations citoyennes. Mon engagement se traduit aussi par mon rôle de président de la Société d’histoire de Sillery depuis 2013 et de co-coordonnateur de la Table de concertation des sociétés d’histoire de Québec.

Mon implication à la Table des partenaires en patrimoine du ministère de la Culture et des Communications me permet de défendre les intérêts du milieu historique auprès des instances gouvernementales.

Odile a travaillé pendant plus de sept ans dans diverses institutions muséales et sites historiques en tant que guide-interprète ainsi que sur des projets de mise en valeur du patrimoine ou de revitalisation de sites historiques.

Détentrice d’une Maîtrise en Aménagement, d’une majeure en muséologie et patrimoines, d’une mineure en pratiques administratives et d’un baccalauréat en histoire, elle s'intéresse aujourd'hui particulièrement aux moyens de mettre en valeur notre patrimoine. C’est pour ces raisons qu’elle a co-fondé le Festival Vivre le patrimoine ainsi que Passerelles coopérative de travail en 2017. Elle fait également partie de l’équipe des guides qui font découvrir Habitat 67.

Baccalauréat en journalisme-communication (Université Laval 1976)

Carrière en journalisme (1976-1996) et en gestion d’entreprises touristiques (1996-2016) dont le site du Village d’Émilie (Grand-Mère) et le Parc de la rivière Batiscan (Saint-Narcisse) (entre autre site historique de production d’électricité)

Président fondateur de l’Association des familles Huard (1990) et généalogiste de cette Association depuis sa fondation.

Prix « Bénévolat » de la Fédération des Associations de famille du Québec (2005)
Prix « Hommage » de l’Association des familles Huard (2015)

Membre et trésorier de la Société d’histoire régionale Appartenance-Mauricie

Intérêt de longue date pour l’histoire en général, pour l’histoire sportive et celle des expositions universelles.
Grand connaisseur et conférencier d’Expo 67, l’exposition universelle de Montréal de 1967

Originaire de New Richmond en Gaspésie, j’y reviens dès la fin de mes études en histoire. Faisant partie de l’équipe de départ de l’implantation du Musée acadien du Québec à Bonaventure en 1990, j’y ai exercé divers rôles, dont responsable de l’animation et conservatrice, pendant 17 ans, pour ensuite y être directrice pendant 13 ans. À l’automne 2020, je deviens agente de développement au Site historique national de Paspébiac, puis directrice en 2023.

Depuis maintenant près de 40 ans, j’ai toujours été engagée dans la diffusion de l’histoire que ce soit à travers des expositions, des articles ou des conférences. En 2014, en collaboration avec la Coalition des organisations acadiennes du Québec, j’ai initié le livre « Le Québec acadien - Parcours historiques ». En 2016, j’ai dirigé et coécrit « Bonaventure se raconte », un ouvrage de 581 pages sur l’histoire de la municipalité de Bonaventure. De par mon travail au Site historique national de Paspébiac, j’ai géré et supervisé un projet de restauration des bâtiments patrimoniaux dans ce lieu historique en 2024-25. Une première phase nécessitant un investissement de 1,5 million.

Toutes mes fonctions des dernières années, m’ont amené à m’impliquer dans différents organismes culturels et patrimoniaux par exemple représentante du Québec au sein du bureau de direction du conseil d’administration du Congrès mondial acadien de 1990 à 1994, membres du comité des fêtes du 250e de Bonaventure en 2010, responsable de l’organisation du Ralliement acadien du Québec en 2016, vice-présidente de la Coalition des organisations acadiennes du Québec de 2013 à 2020, membre fondatrice et vice-présidente du Réseau muséal et patrimonial de la Gaspésie jusqu’à mars 2020, administratrice à Culture Gaspésie et impliquée à la table de concertation du patrimoine de la Gaspésie. J’ai toujours oeuvré à mettre de l’avant le patrimoine et la culture de ma région et du Québec.

Membre du conseil d’administration de la Fédération Histoire Québec depuis 2021 et secrétaire générale au conseil d’administration depuis 2023, je suis évidemment responsable de la région Gaspésie / les Îles-de-la-Madeleine et impliquée dans le comité de gouvernance et planification stratégique ainsi que dans le comité patrimoine. Je me suis particulièrement investie, par mon analyse, dans le mémoire présenté par la FHQ à l’occasion de l’examen du Projet de loi no 64 instituant le Musée national de l’histoire du Québec en septembre dernier ainsi que dans le projet de monuments et plaques commémoratives. Je désire apporter mon expérience à la Fédération Histoire Québec dans des domaines qui me sont chers comme la muséologie et le patrimoine tout en étant « la voix des régions » au sein de l’organisme.

Je me présente, Marie-Josée Lettre, bibliotechnicienne à l’Institut de technologie agroalimentaire du Québec, Campus de La Pocatière. Je suis titulaire d’un diplôme d’études collégiales en Techniques de la documentation du Cégep François-Xavier Garneau obtenu en 2005, d’un Certificat en archivistique, obtenu en 2006 et d’un Certificat en ethnologie obtenu en 2022, tous deux de l’Université Laval.

Originaire de Victoriaville, mon parcours m’a mené à Québec pour les études et le travail et finalement me faire atterrir en 2007, dans la belle
région du Bas-St-Laurent et ce, pour le travail.

Tout au long de mes années à l’ITAQ, Campus de La Pocatière, j’ai su intégrer, au travers mes tâches de bibliotechnicienne, l’histoire de mon lieu de travail afin de pouvoir la conserver et la mettre en lumière auprès de la clientèle desservie par l’Institut ainsi qu’auprès de mes collègues. Impliquée dans divers projets pour diffuser cette histoire, vieille de plus 165 ans, j’ai, entre autres, mis sur pied plusieurs expositions traitant de l’histoire de l’enseignement agricole à La Pocatière (Expo-Poc et Portes ouvertes de l’ITAQ), créé des capsules rétros sur la page Facebook du Centre des multimédias de l’ITAQ et collaboré à l’organisation de visites guidées lors de conventums s’étant tenus à l’Institut. Plusieurs projets se sont d’ailleurs faits en collaboration avec le Musée québécois de l’agriculture et de l’alimentation du Québec ainsi qu’avec les Archives de la Côte-du-Sud, tous deux situés à La Pocatière.

Tout ce bagage de connaissances amassé au cours des années m’a permis d’écrire un article publié en 2015 dans la revue Histoire Québec sous le titre : L’enseignement agricole à Sainte-Anne-de-La-Pocatière : une histoire à cultiver. S’en suivent, en 2017, quelques pages dans le livre Hommes engagés à nourrir le Québec, sous la direction de Rose-Hélène Coulombe et Michel Jutras. De plus, j’ai eu la chance de rédiger l’article L’enseignement de la mode dans la région de Québec : une histoire tissée serrée, paru dans la revue Québecensia, paru en 2021.

Toujours à la recherche d’informations sur l’histoire de l’enseignement agricole au Québec, je m’intéresse particulièrement à la place des femmes au sein de celle-ci.

Outre l’enseignement agricole, je m’intéresse également à l’apport des communautés religieuses féminines au sein de la société québécoise.

Mon implication se fait également au sein de l’histoire locale puisque je siège sur le conseil d’administration de la Société d’histoire de généalogie de la Côte-du-Sud, depuis 2018 ; où j’ai été nommé présidente à l’automne 2022. Je siège aussi sur le conseil d’administration de la Corporation historique et culturelle de Rivière-Ouelle, depuis 2019.

Au sein de la Fédération Histoire Québec, je siège sur le Comité Mémoire des Femmes, où nous mettons de l’avant l’histoire des femmes ayant oeuvrés à l’avancement du Québec.

Formation en Sciences de la terre et carrière dans le domaine des barrages, principalement à Hydro Québec.

Intérêt de longue date pour l’histoire et l'architecture ancienne.

Propriétaire depuis 1975 d'une maison ancienne, restaurée au cours des années suivantes et d'une seconde maison restaurée au début des années 2010.

Membre de l’association Amis et propriétaires de maisons anciennes du Québec (APMAQ) depuis 1984, membre du CA de 1990 à 1999 et président de l’organisme de 1993 à 1998.

Président de Amis et propriétaires de maisons anciennes du Québec (APMAQ) depuis 2023.

Membre du comité du patrimoine de la Fédération Histoire Québec depuis 2005 et président du comité depuis 2010.

Membre du conseil d’administration de la Fédération Histoire Québec depuis 2019.

Président du comité consultatif d’urbanisme (CCU) de Saint-Roch-de-l’Achigan.

Implication dans la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine architectural à l'intérieur des organismes déjà cités
Présentation de conférences, rédaction d'articles et de publications sur le patrimoine architectural, organisation de visites guidées, participation à l’inventaire de bâtiments anciens

Je m’appelle Vicki Onufriu, j’ai 45 ans et je suis historienne. J’ai obtenu mon baccalauréat et ma maîtrise en histoire, à l’UQÀM, respectivement en 2002 et 2007. Je réalise des projets de médiation culturelle depuis ce temps, en tant que consultante en histoire. Mes recherches personnelles portent sur l’histoire des Protestants anglophones des régions de Laval, des Basses-Laurentides et d’une partie de Lanaudière. Je fais des analyses démographiques à partir du dépouillement des registres religieux des congrégations protestantes.

Je fais du bénévolat dans des sociétés d’histoire et autres organismes culturels depuis plus de 24 ans. De 2001 à 2016, j’ai fait partie du conseil d’administration de l’ancienne Société d’histoire régionale de Deux-Montagnes (j’en ai été la présidente de 2010 à 2016), organisme qui s’est dissous en 2016 pour s’intégrer à la Société de généalogie de Saint-Eustache, dont je suis la vice-présidente depuis 2020. Je suis également vice-présidente du Centre d’archives de Laval. Finalement, je fais partie du conseil d’administration de la Fédération Histoire Québec depuis 2019.

Lors de mes mandats à la FHQ, j’ai été responsable des régions de Montréal, de Laval et des Laurentides. On m’a également confié le mandat d’agent de liaison avec les membres anglophones de la FHQ, et du Quebec Anglophone Heritage Network (QAHN). Je suis membre active de cet organisme en m’impliquant dans leur comité pour la région de Montréal. De plus, en compagnie de plusieurs collègues à la Fédération, aussi chercheures en sciences humaines, nous avons fondé le Comité Mémoire des femmes en 2022. Nous sommes fières de mettre de l’avant l’histoire des femmes qui ont marqué l’histoire du Québec, par le biais de publications sur la page Facebook du comité, tout en mettant en valeur le travail inestimable de nos organismes de la FHQ, qui contribuent eux aussi à cette mission. Ce projet a eu l’immense honneur d’être récompensé par le Prix d’histoire du Gouverneur général, en 2023.

Mario Robert est historien et archiviste; détenteur de maitrises en histoire et en bibliothéconomie, il a été chef de la Section des archives de la Ville de Montréal de 2008 à 2020 et archiviste depuis 1991.

De 2004 à 2008, il a enseigné la description des archives à l’École des sciences de l’information de l’Université de Montréal. Auteur de plusieurs articles, conférencier, blogueur et chroniqueur en archivistique et en histoire, il a codirigé l’ouvrage La gestion des archives photographiques (2001). Il est aussi coauteur des livres Vivre Montréal 1920-1969 (2011), Quand les archives racontent Montréal : 100 pièces d’exception (2013) et Traces de l’histoire de Montréal (2017).

De 2014 à 2016, il a été chroniqueur sur l’histoire de Montréal à l’émission télévisée Montréalité sur la chaine MAtv. Depuis 2020, il est président de la Société historique de Montréal.

Depuis 2020, il est président de la Société historique de Montréal.

Membre du CA de la Fédération Histoire Québec depuis 2020. Représentant de la région de l’Outaouais.
Président du CA des Éditions Histoire Québec.
Membre du CA de la Fondation Histoire Québec.

Professionnel et gestionnaire en tourisme certifié Emerit de RH tourisme Canada :
Guide-interprète du patrimoine; Guide touristique; Directeur d’activités spéciales.

Développeur économique professionnel (D.Éc.) certifié par l’Association des professionnels en développement économique du Québec.

Études supérieures et universitaires complétées :
Développement local (Université de Sherbrooke); Gestion de projet avancée (Université d’Ottawa); Entrepreneuriat et gestion de PME (Université Laval); Formation supérieure en gestion d’événements (Institut de tourisme et d'hôtellerie du Québec);
Travail social (UQO).

Travaille dans les domaine de la communication et de l’interprétation de l’histoire et du patrimoine depuis plus de vingt ans.

Membre du Comité consultatif d’urbanisme de la Municipalité de Papineauville.

Entrepreneur et travailleur autonome dans les secteurs de l'interprétation du patrimoine, du tourisme, de l'événementiel et de la gestion de projets notamment avec composantes de mises en valeur de l’histoire et du patrimoine.

Je souhaite contribuer à développer les potentiels des divers services et champs d’activité de la fédération, faciliter les contributions des forces vives que constituent les sociétés membres de la FHQ, afin d’enrichir, étendre et rassembler les ressources en histoire et en patrimoine du Québec. 

Je me présente Françoise Rivest de la société d’histoire des Iles-Percées de Boucherville depuis 2017, responsable de la communication avec les membres et de la programmation des conférences mensuelles. La diffusion se faisant par bulletins aux membres et par communiqués dans le journal local. Tous autres communiqués portant intérêt pour nos membres font l’objet d’info-lettres.

À ce même titre, j’agis depuis 2013 à l’antenne de l’université du troisième âge (UTA) de l’université de Sherbrooke comme membre du comité de programmation pour la recherche de sujets susceptibles d’intéresser notre clientèle et de la communication avec les conférenciers. Plusieurs autres événements sont organisés tels que colloques et concerts reconnaissance. En outre j’agis comme trésorière de notre antenne.

Mes expériences acquises pendant ma vie professionnelles en tant que technicienne en chimie dans des entreprises telles que Bell Canada et Centre de recherche industrielle du Québec (CRIQ) m’ont appris l’exactitude, la rigueur et respect des échéanciers.

Ma passion pour l’histoire et la généalogie remonte, quant à elle, aux premières recherches que j’ai effectuées sur mes ancêtres et ceux de mon conjoint et amis. Un ancien membre la Société d’histoire de Boucherville, l’ancêtre de la SHIP, a déjà siégé, lors de la création de la FHQ, c’est avec empressement, qu’à mon tour, je souhaite y être proactive ! Merci !

Je me présente, Marie-Josée Lettre, bibliotechnicienne à l’Institut de technologie agroalimentaire du Québec, Campus de La Pocatière. Je suis titulaire d’un diplôme d’études collégiales en Techniques de la documentation du Cégep François-Xavier Garneau obtenu en 2005, d’un Certificat en archivistique, obtenu en 2006 et d’un Certificat en ethnologie obtenu en 2022, tous deux de l’Université Laval.

Originaire de Victoriaville, mon parcours m’a mené à Québec pour les études et le travail et finalement me faire atterrir en 2007, dans la belle
région du Bas-St-Laurent et ce, pour le travail.

Tout au long de mes années à l’ITAQ, Campus de La Pocatière, j’ai su intégrer, au travers mes tâches de bibliotechnicienne, l’histoire de mon lieu de travail afin de pouvoir la conserver et la mettre en lumière auprès de la clientèle desservie par l’Institut ainsi qu’auprès de mes collègues. Impliquée dans divers projets pour diffuser cette histoire, vieille de plus 165 ans, j’ai, entre autres, mis sur pied plusieurs expositions traitant de l’histoire de l’enseignement agricole à La Pocatière (Expo-Poc et Portes ouvertes de l’ITAQ), créé des capsules rétros sur la page Facebook du Centre des multimédias de l’ITAQ et collaboré à l’organisation de visites guidées lors de conventums s’étant tenus à l’Institut. Plusieurs projets se sont d’ailleurs faits en collaboration avec le Musée québécois de l’agriculture et de l’alimentation du Québec ainsi qu’avec les Archives de la Côte-du-Sud, tous deux situés à La Pocatière.

Tout ce bagage de connaissances amassé au cours des années m’a permis d’écrire un article publié en 2015 dans la revue Histoire Québec sous le titre : L’enseignement agricole à Sainte-Anne-de-La-Pocatière : une histoire à cultiver. S’en suivent, en 2017, quelques pages dans le livre Hommes engagés à nourrir le Québec, sous la direction de Rose-Hélène Coulombe et Michel Jutras. De plus, j’ai eu la chance de rédiger l’article L’enseignement de la mode dans la région de Québec : une histoire tissée serrée, paru dans la revue Québecensia, paru en 2021.

Toujours à la recherche d’informations sur l’histoire de l’enseignement agricole au Québec, je m’intéresse particulièrement à la place des femmes au sein de celle-ci.

Outre l’enseignement agricole, je m’intéresse également à l’apport des communautés religieuses féminines au sein de la société québécoise.

Mon implication se fait également au sein de l’histoire locale puisque je siège sur le conseil d’administration de la Société d’histoire de généalogie de la Côte-du-Sud, depuis 2018 ; où j’ai été nommé présidente à l’automne 2022. Je siège aussi sur le conseil d’administration de la Corporation historique et culturelle de Rivière-Ouelle, depuis 2019.

Au sein de la Fédération Histoire Québec, je siège sur le Comité Mémoire des Femmes, où nous mettons de l’avant l’histoire des femmes ayant oeuvrés à l’avancement du Québec.

Je m’appelle Vicki Onufriu, j’ai 45 ans et je suis historienne. J’ai obtenu mon baccalauréat et ma maîtrise en histoire, à l’UQÀM, respectivement en 2002 et 2007. Je réalise des projets de médiation culturelle depuis ce temps, en tant que consultante en histoire. Mes recherches personnelles portent sur l’histoire des Protestants anglophones des régions de Laval, des Basses-Laurentides et d’une partie de Lanaudière. Je fais des analyses démographiques à partir du dépouillement des registres religieux des congrégations protestantes.

Je fais du bénévolat dans des sociétés d’histoire et autres organismes culturels depuis plus de 24 ans. De 2001 à 2016, j’ai fait partie du conseil d’administration de l’ancienne Société d’histoire régionale de Deux-Montagnes (j’en ai été la présidente de 2010 à 2016), organisme qui s’est dissous en 2016 pour s’intégrer à la Société de généalogie de Saint-Eustache, dont je suis la vice-présidente depuis 2020. Je suis également vice-présidente du Centre d’archives de Laval. Finalement, je fais partie du conseil d’administration de la Fédération Histoire Québec depuis 2019.

Lors de mes mandats à la FHQ, j’ai été responsable des régions de Montréal, de Laval et des Laurentides. On m’a également confié le mandat d’agent de liaison avec les membres anglophones de la FHQ, et du Quebec Anglophone Heritage Network (QAHN). Je suis membre active de cet organisme en m’impliquant dans leur comité pour la région de Montréal. De plus, en compagnie de plusieurs collègues à la Fédération, aussi chercheures en sciences humaines, nous avons fondé le Comité Mémoire des femmes en 2022. Nous sommes fières de mettre de l’avant l’histoire des femmes qui ont marqué l’histoire du Québec, par le biais de publications sur la page Facebook du comité, tout en mettant en valeur le travail inestimable de nos organismes de la FHQ, qui contribuent eux aussi à cette mission. Ce projet a eu l’immense honneur d’être récompensé par le Prix d’histoire du Gouverneur général, en 2023.

Détentrice d’un baccalauréat et d’une maitrise en histoire de l’UQAM, Joëlle Thérien  s’intéresse à plusieurs aspects de l'histoire des femmes dont les groupes sociaux, les autochtones, les mouvements féministes et la toponymie. Après avoir travaillé dans le domaine des loisirs municipaux et ensuite dans un centre femme, elle se consacre désormais à l'enseignement et à la vulgarisation. 

Je me présente Françoise Rivest de la société d’histoire des Iles-Percées de Boucherville depuis 2017, responsable de la communication avec les membres et de la programmation des conférences mensuelles. La diffusion se faisant par bulletins aux membres et par communiqués dans le journal local. Tous autres communiqués portant intérêt pour nos membres font l’objet d’info-lettres.

À ce même titre, j’agis depuis 2013 à l’antenne de l’université du troisième âge (UTA) de l’université de Sherbrooke comme membre du comité de programmation pour la recherche de sujets susceptibles d’intéresser notre clientèle et de la communication avec les conférenciers. Plusieurs autres événements sont organisés tels que colloques et concerts reconnaissance. En outre j’agis comme trésorière de notre antenne.

Mes expériences acquises pendant ma vie professionnelles en tant que technicienne en chimie dans des entreprises telles que Bell Canada et Centre de recherche industrielle du Québec (CRIQ) m’ont appris l’exactitude, la rigueur et respect des échéanciers.

Ma passion pour l’histoire et la généalogie remonte, quant à elle, aux premières recherches que j’ai effectuées sur mes ancêtres et ceux de mon conjoint et amis. Un ancien membre la Société d’histoire de Boucherville, l’ancêtre de la SHIP, a déjà siégé, lors de la création de la FHQ, c’est avec empressement, qu’à mon tour, je souhaite y être proactive ! Merci !

Passionnée par l’histoire sociale du Québec sous le régime français, Léocadie Choquette adore explorer les musées et sites archéologiques québécois. 

Après avoir complété un baccalauréat en histoire, elle est maintenant candidate à la maîtrise en histoire option pratique à l’Université de Montréal. Intéressée par la muséologie et l’histoire publique, elle a récemment complété, dans le cadre de sa maîtrise, un stage de recherche à Pointe-à-Callière, Cité d’archéologie et d’histoire, où elle eut la chance d’explorer la thématique de la Grande Paix de Montréal de 1701 sous de nouveaux angles historiques. Elle entame cet automne de nouveaux défis en rejoignant l’équipe de la Fédération Histoire Québec au poste de responsable du développement philanthropique. 

Avec son expérience en gestion de projet et son exploration du milieu muséal, archéologique, archivistique et patrimonial, Léocadie s’est développé un grand intérêt pour la gestion des organismes culturels ainsi que leur rayonnement sociétal. À partir de l'automne 2025, elle saura vous épauler dans vos recherches de financement et stratégies de développement philanthropique. Ses efforts seront également l'occasion de faire le point sur l'état de santé des organismes citoyens en culture et de répertorier les solutions de financement et de relève de notre milieu.

Formation en Sciences de la terre et carrière dans le domaine des barrages, principalement à Hydro Québec.

Intérêt de longue date pour l’histoire et l'architecture ancienne.

Propriétaire depuis 1975 d'une maison ancienne, restaurée au cours des années suivantes et d'une seconde maison restaurée au début des années 2010.

Membre de l’association Amis et propriétaires de maisons anciennes du Québec (APMAQ) depuis 1984, membre du CA de 1990 à 1999 et président de l’organisme de 1993 à 1998.

Président de Amis et propriétaires de maisons anciennes du Québec (APMAQ) depuis 2023.

Membre du comité du patrimoine de la Fédération Histoire Québec depuis 2005 et président du comité depuis 2010.

Membre du conseil d’administration de la Fédération Histoire Québec depuis 2019.

Président du comité consultatif d’urbanisme (CCU) de Saint-Roch-de-l’Achigan.

Implication dans la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine architectural à l'intérieur des organismes déjà cités
Présentation de conférences, rédaction d'articles et de publications sur le patrimoine architectural, organisation de visites guidées, participation à l’inventaire de bâtiments anciens

Originaire du secteur Sillery de la ville de Québec, j’ai été enseignant d’histoire au Centre d’études collégiales de Montmagny de 1994 à 2022, ceci après avoir fait mes premières armes en enseignement collégial au Cégep de Matane. Je suis retraité de l’enseignement collégial depuis avril 2022. En 1984, j’étais un des membres fondateurs de la Société́ d’histoire de Sillery. J’y ai été trésorier, puis président et administrateur avant de quitter pour m’impliquer dans d’autres organismes. Je suis revenu à la Société d’histoire de Sillery en 2012 et j’y occupe la présidence depuis 2013. 

Après m’être impliqué dans le comité du patrimoine de la Fédération, j’ai été appelé à devenir administrateur, fonction que j’ai occupée pendant deux ans. À la fin de ce mandat, j’ai été renouvelé (2021) puis nommé comme président par le conseil d’administration de la Fédération. J’occupe ce poste depuis, et ce en plus d’essayer de donner un coup de main au comité du patrimoine.

Depuis plus de dix ans, je m’investis activement dans la valorisation de l’histoire et du patrimoine du Québec. En tant que président de la Fédération Histoire Québec depuis 2021, j’ai œuvré à renforcer notre réseau de plus de 360 sociétés d’histoire, musées, centres d’archives et associations citoyennes. Mon engagement se traduit aussi par mon rôle de président de la Société d’histoire de Sillery depuis 2013 et de co-coordonnateur de la Table de concertation des sociétés d’histoire de Québec.

Mon implication à la Table des partenaires en patrimoine du ministère de la Culture et des Communications me permet de défendre les intérêts du milieu historique auprès des instances gouvernementales.

Historien, archiviste, héraldiste et conférencier, Marc Beaudoin est membre associé de l’Académie internationale d’héraldique. Président de la Fédération Histoire Québec de 1979 à 1982 et de 1998 à 2005, il en a aussi été le trésorier de 2005 à 2012.

Il est l’un des membres fondateurs des Éditions Histoire Québec dont il est le secrétaire du conseil d’administration depuis 2002.

Il a aussi présidé aux destinées de la Société historique de Québec de 1983 à 1985, de 1986 à 1988, de 1989 à 1991 et de 1994 à 1998, ainsi que de l’Association des archivistes du Québec de 1992 à 1993 et de 2008 à 2010.

Membre fondateur du comité d’héraldique de la Société de généalogie de Québec depuis 2010, il est l’auteur de plus de quatre-vingt-dix articles sur les armoiries des personnages de notre histoire et sur l’art du blason dans les revues d’héraldique, d’histoire et de généalogie.

Michel Pratt est un historien qui a consacré sa carrière à l’enseignement de l’histoire, tant au niveau collégial qu’universitaire.

Il a été le secrétaire général de la Fédération Histoire Québec de 1999 à 2019. Il est le président fondateur des Éditions Histoire Québec de 2002 à 2019.

Il a été le président de la Société historique du Marigot de 1998 à 2015 et de l’Association des auteurs de la Montérégie de 1999 à 2002.

Depuis 2020, il occupe le poste de rédacteur en chef de la revue Mémoires, de la Société généalogique canadienne-française.

Il est récipiendaire de la médaille de l’Assemblée nationale du Québec, du prix Dollard-Morin, de la médaille du lieutenant-gouverneur, des prix Honorius-Provost, Rodolphe-Fournier et, pour un de ses livres, Léonidas-Bélanger.

Longueuil l’a nommé Bénévole d’honneur. Son ouvrage Longueuil 1657-2007 a remporté le prix du Patrimoine au Gala de la culture de Longueuil.

Normand Robert est un historien, né en 1952. Sa passion pour l'histoire l'amène à obtenir un baccalauréat ès arts en histoire en 1977, suivi d'une maîtrise ès arts en 1981 à l’Université de Montréal.

Entre 1981 et 1983, Normand Robert travaille comme agent de recherche au sein de l’équipe du Programme de recherche en démographie historique de l’Université de Montréal (PRDH).

En 1981, il fonde, avec Hélène Lafortune, la Société de recherche historique Archiv-Histo. Au cours des cinq décennies suivantes, Normand Robert joue un rôle clé dans la création de bases de données importantes, notamment la base notariale Parchemin et la base judiciaire Thémis.

De 1984 à 1998, il publieune série de treize volumes intitulée Nos Origines en France. Parallèlement à son rôle à la tête de la Société Archiv-Histo, il occupe divers postes au sein de la Société généalogique canadienne-française, notamment celui d’administrateur (1983-1985), vice-président (1985-1991) et président (1991-1999). De 1990 à 2019, il dispense des cours de paléographie franco-canadienne, partageant son expertise avec les membres de cette organisation.

Normand Robert est également un acteur clé dans la Fédération Histoire Québec, où il a été administrateur (1984), trésorier (1985-1986) et président (1986-1989). Instigateur du Prix Rodolphe-Fournier à la Fédération en 1989, il est membre du jury de 2016 à 2025.

En plus, il participe à l'organisation d'expositions d'envergure lors de congrès internationaux sur le notariat québécois, notamment à Montréal en 1986, à Poitiers et à la Nouvelle-Orléans en 1997, ainsi qu’à Marrakech en 2010.

Depuis 2018, Normand Robert coordonne l’Atelier permanent d’analyse documentaire (APAD-Transcription). Grâce à la plateforme d’intelligence artificielle Transkribus, développée par les chercheurs de READ-Coop de l’Université d’Innsbruck, il contribue à créer une nouvelle sociabilité autour de la transcription des archives notariales.

Originaire de Québec, Richard M. Bégin a fait des études classiques et a eu une formation universitaire supérieure en histoire, en science politique et en administration des affaires.

Il a ensuite fait carrière au gouvernement fédéral dans le domaine des affaires publiques, surtout comme directeur des communications, notamment aux Archives publiques, aux Affaires étrangères et au Bureau du Conseil privé.

Pendant plus de 40 ans, il a été administrateur et président d'une multitude d’organismes, autant dans le secteur socio-communautaire et culturel que dans le domaine des affaires tels que le Mouvement Richelieu, l'Association du patrimoine d'Aylmer, le Musée de l'Auberge Symmes, l'Association des professionnels, industriels et commerçants d’Aylmer, le Conseil régional de la culture de l'Outaouais, la Fiducie nationale du Canada et plus particulièrement la Fédération Histoire Québec (président, 2005-2021).  De 2013 à 2017, il a été conseiller municipal et président du Comité consultatif d'urbanisme à Gatineau.

Il est l'auteur de plusieurs articles sur l'histoire et le patrimoine, et de quelques livres, dont son plus récent, L’Hôtel British d’Aylmer. Au cœur de deux siècles d’histoire et de patrimoine, également disponible en anglais.

Au fil des ans, il a reçu diverses distinctions ou reconnaissances, autant au niveau professionnel (produits de marketing et publications) que pour son implication bénévole, dont l’Ordre de Gatineau, la Médaille de l’Assemblée nationale du Québec, la Médaille du Jubilé de diamant de la reine et le Prix Dollard-Morin, volet national.

Née à Saint-André-de-Kamouraska, là où ont vécu ses ancêtres Ouellet à compter de 1752, soit sept générations précédentes. Après des études postsecondaires à l'École normale de Lévis, à l’Université du Québec de Rimouski et à l’Université Laval, cumulant dix-neuf années de scolarité, elle a œuvré pendant trente-et-une années à titre d’enseignante et de directrice d'écoles primaires. Son intérêt pour les voyages l’a amenée à faire le tour du monde. Intéressée dès sa tendre enfance aux rudiments de l'histoire et de la généalogie, elle a adhéré à une dizaine d’organismes dont elle a assumé diverses responsabilités :  présidence, vice-présidence, secrétaire, rédactrice en chef et organisatrice de congrès. Auteure de douze ouvrages consacrés à l’histoire et à la généalogie (académicienne internationale) et conférencière en Amérique et en Europe (France, Écosse, Pologne), diverses gratifications lui ont été décernées : prix Gordon-Atkinson, prix Honorius-Provost, ambassadrice, femme de l’année, membre honoraire d’un centre d’archives, Milady des 78th Fraser Highlanders, médaille de la ville de Ciboure, médaille de Grande bâtisseuse, insignes de l’Ordre des francophones d’Amérique, patriote de l’année, certificat d’or du bénévolat, médaille du jubilé de diamant d’Elisabeth II, gouverneure de la FHQ... Sa paroisse natale a donné le nom de Jeannine Ouellet à sa bibliothèque municipale.

Je m’implique dans les questions patrimoniales à plusieurs niveaux depuis vingt-cinq ans.

J’ai été sur le conseil d’administration de la Société historique Cavalier- de LaSalle et président a deux reprises.

J’ai été depuis de nombreuses années sur le conseil d’administation de FHQ et vice- président pour plusieurs mandats. Je continue à siéger à certains comités.

Je suis aussi sur le conseil d’administration du Reseau du Patrimoine Anglophone du Québec et membre actif d’Héritage Montréal.

Plus je travaille en étroite collaboration avec le Laboratoire d’histoire et de patrimoine de l’UQAM sur l’impact social des organismes en histoire et patrimoine.

Natif de Ste-Rose de Laval et éduqué au Séminaire de Ste-Thérèse, Serge Gravel est membre de l’Ordre des Ingénieurs du Québec.  Ingénieur industriel de formation, il assuma la direction d’une usine de transformation alimentaire puis se dirigea vers le financement et la capitalisation d’entreprises à la BDC et à la Sodec.

Depuis 1996, il est membre de la Société d’histoire et de généalogie de l’Île Jésus (SHGÎJ).  Il siège à son conseil d’administration de 2000 à 2011 et en a été le président de 2003 à 2010.  Il a été membre du conseil d’administration de la Fédération Histoire Québec (FHQ) de 2010 à 2017 et a occupé le poste de trésorier de 2012 à 2017.

Sous sa gouverne, la SHGÎJ se dota d’un secrétariat permanent, source de la réalisation de nombreux projets rémunérateurs et signifiants pour la conservation du patrimoine lavallois dont la restauration de ses 28 croix de chemin.  Parmi d’autres réalisations à la SHGÎJ notons l’implantation du Centre d’archives agréé de Laval, l’incorporation à la SHGIJ du centre de documentation sur l’histoire et la généalogie du réseau des bibliothèques de Laval et enfin le triplement du nombre de ses membres.

À la FHQ, il a été l’artisan d’un virage visant à ce que la Fédération se procure de nouveaux revenus pour financer une présence plus significative auprès de ses membres et du public, en conformité avec le Plan stratégique.

Serge Gravel est aussi membre, depuis 2010, de la Société d’histoire d’Outremont (au CA de 2011 à 2018) et de la Société d’histoire et de généalogie du Plateau Mont-Royal.

Originaire de France et formé en littérature, histoire et histoire de l’art (École du Louvre, Lycée Henri-IV et École Pratique des Hautes Études), Jean Rey-Regazzi a poursuivi son doctorat en muséologie à l’UQÀM. Curieux, fin connaisseur de l’histoire et du patrimoine québécois, il œuvre au sein de la Fédération Histoire Québec depuis septembre 2021. Son apport à la bonification des services aux membres et sa contribution au virage communicationnel de la Fédération, ainsi que sa compréhension des valeurs de la Fédération et de ses membres, en font un atout incomparable pour poursuivre le développement de l’organisme.

Au fil de son parcours, il s'est familiarisé avec l’histoire et les patrimoines québécois, depuis le temps de la Nouvelle-France auprès des Sulpiciens de Montréal, jusqu’aux élans industriels du XXe siècle au Centre d’histoire Arvida. L’apport citoyen à la mémoire collective – à sa préservation, à sa diffusion – est un enjeu moteur de son engagement à la Fédération et plus généralement dans la transmission de l'histoire et du patrimoine.

En poste depuis avril 2024, Caroline Cudia, coordinatrice de l'inventaire du patrimoine commémoratif, accompagne d'ores et déjà plusieurs sociétés membres sur le terrain dans ce projet collectif pour lequel des fonds spécifiques sont dédiés pour vous soutenir. Pour en savoir plus consultez notre page web.

Caroline Cudia est chercheuse indépendante, consultante en histoire et patrimoine et rédactrice. Enseignante au collégial, elle est aussi la coordonnatrice du projet d’inventaire du patrimoine commémoratif du Québec, un mandat réalisé sous l’égide de la Fédération Histoire Québec.

Titulaire d’un baccalauréat et d’une maitrise en histoire, elle s’intéresse particulièrement à l’histoire des livres et des imprimés anciens, aux patrimoines culturels, maritimes et culinaires, ainsi qu’aux archives notariales.

En nomade avertie, vous risquez de la croiser au détour d’une route ou sur une plage du fleuve. Les excursions de bonheur (ou road trip) font partie de son mode de vie!

Passionnée par l’histoire sociale du Québec sous le régime français, Léocadie Choquette adore explorer les musées et sites archéologiques québécois. 

Après avoir complété un baccalauréat en histoire, elle est maintenant candidate à la maîtrise en histoire option pratique à l’Université de Montréal. Intéressée par la muséologie et l’histoire publique, elle a récemment complété, dans le cadre de sa maîtrise, un stage de recherche à Pointe-à-Callière, Cité d’archéologie et d’histoire, où elle eut la chance d’explorer la thématique de la Grande Paix de Montréal de 1701 sous de nouveaux angles historiques. Elle entame cet automne de nouveaux défis en rejoignant l’équipe de la Fédération Histoire Québec au poste de responsable du développement philanthropique. 

Avec son expérience en gestion de projet et son exploration du milieu muséal, archéologique, archivistique et patrimonial, Léocadie s’est développé un grand intérêt pour la gestion des organismes culturels ainsi que leur rayonnement sociétal. À partir de l'automne 2025, elle saura vous épauler dans vos recherches de financement et stratégies de développement philanthropique. Ses efforts seront également l'occasion de faire le point sur l'état de santé des organismes citoyens en culture et de répertorier les solutions de financement et de relève de notre milieu.

Laurence Fleury est titulaire d’un baccalauréat intégré en sciences historiques et études patrimoniales de l’Université Laval ainsi que d’une maîtrise en muséologie de l’Université de Montréal. Son travail dirigé de fin de maîtrise porte sur la conservation du patrimoine vidéoludique au Québec.

Ses expériences professionnelles lui ont permis de développer une solide expertise en gestion des collections et en conservation de la culture matérielle. Son intérêt pour le patrimoine bâti s’est affirmé au fil de six saisons passées au Lieu historique national de la Grosse-Île-et-le-Mémorial-des-Irlandais, où elle a exercé les fonctions de guide et de comédienne. D’avoir eu la chance de résider sur cette île mythique et de faire découvrir son histoire au travers ses derniers témoins architecturaux lui a permis de développer une sensibilité accrue aux enjeux liés à leur conservation, à leur mise en valeur et à leur transmission auprès du public.

Dans ses temps libres, Laurence aime faire de la couture, de la broderie et du crochet. Elle est également adepte de la course à pied et s’entraîne actuellement en vue de son deuxième demi-marathon, prévu pour septembre prochain.

Ayant récemment terminé sa maîtrise, Laurence intègre maintenant l’équipe de la Fédération Histoire Québec à titre de conseillère en patrimoine bâti.

Originaire de la Vendée (France) et finissant à l'Université du Québec à Chicoutimi, Gabriel travaillera à nouer des liens avec les acteurs clés à l’international afin de développer des opportunités de coopération scientifique et financière. Ses efforts se concentreront tout particulièrement sur les liens France-Québec et plus largement sur la reconnaissance de la FHQ dans l'espace francophone au Canada et à l'international, afin d'éclairer les enjeux des sociétés d'histoire et organismes citoyens dans nos territoires.

Ce stage s'inscrit dans la continuité de nos efforts de rayonnement international, dont la mission Émerillon de 2024, en favorisant les échanges interculturels, contribuant ainsi à l'élargissement du réseau de la FHQ et à la valorisation du patrimoine québécois sur la scène mondiale, tout en favorisant des collaborations fructueuses entre chercheurs et praticiens.